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Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Et si, on vous annonçait que les Institutions, qui ont la responsabilité de vos enfants, ont programmé, depuis des décennies, d’en faire des incultes, des moutons de Panurge, des ignorants et surtout des citoyens qui ne coûteront pas trop chers à la société ! Et si, on vous annonçait que les Institutions, qui ont la responsabilité de vos enfants, cachent des scandales Et si, on vous annonçait que les Institutions, qui ont la responsabilité de vos enfants, les détruisent physiquement, psychologiquement ainsi que ceux qui en ont la charge ! Et si, on vous annonçait que tout ça, c’est pour leur bien, votre bien ! Qu’en penseriez-vous ? Que feriez-vous pour protéger et sauver vos enfants ? Thémis, faisait partie de ces professeurs investis, de ces professeurs dont l’enseignement était sa passion. La transmission la faisait vibrer, elle adorait ça ! Quelle est donc son histoire pour que Thémis en parle, ainsi, au passé ? Lors de cette soirée, entre amis, Thémis annonce clairement la couleur : « Les établissements publics, privés […] m’ont dévastée, détruite ». Que s’est-il donc passé ? Questionnée par ses amis, elle dévoile, alors, les dérives de ces Institutions. Puis, remontant dans ses souvenirs, elle dénonce toute l’hypocrisie et l’omerta dont elle a été témoin. Elle tente, enfin, par son vécu et son témoignage de réveiller les consciences endormies en énonçant ce que vivent actuellement et au quotidien les élèves. Thémis touche, profondément, ses amis et les convives par l’authenticité et la sincérité de son vécu.
Les noms et prénoms ont été changés. Récit basé sur une histoire vraie. Tous les faits relatés sont réels.
« Ne me parlez plus d’enseignement et d’établissements privés Catholiques ou publics, répondis-je, au petit groupe qui se trouvait là près de moi …. Ils m’ont dévastée, détruite, ajoutai-je d’un ton mêlé de gravité, de tristesse et d’amertume. D’un naturel plutôt souriant, léger et avenant en société, à ces mots, mon visage et ma voix devinrent austères. Je ne sais si, à ce moment-là, mon teint devint blafard ou cramoisi, mais mes traits et mon corps se crispèrent et se raidirent, si soudainement, que tous furent interloqués par ce changement brusque. Je pense, qu’à ce moment précis, ils prirent conscience du sérieux de mes propos. Il y eut un moment de silence. Celui-ci fut brisé par Manni : – A ce point-là ! Dis-nous-en un peu plus Thémis !!! – Il y a, à boire et à manger dans tous les établissements, quels qu’ils soient, privés ou publics répondis-je. Concernant le privé, ce n’est pas ou plus ce que vous pensez … Et puis … Par où commencer … Il y a tant à dire !!!
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