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Accueil > Littérature > Dahim Jaras
C’est une petite nouvelle de six pages dont l’amorce a été écrite par l’écrivaine algérienne Maissa Bey. Une histoire d’enfant qui n’en est pas vraiment une. Un véritable drame qui donne à penser sur l’absurdité de la vie que nous menons.
Tout, tout est si beau, se dit Amel comme chaque matin en poussant les persiennes. La lumière du jour hésite là-bas, au ras des collines sombres. Et plus bas, la ville se réveille lentement, avec la masse verdoyante de ses jardins encore immobiles, les taches blanches du linge étendu sur les terrasses, mêlées au rouge des chapelets de poivrons accrochés aux mêmes fils.
Debout à sa fenêtre, Amel reste un long moment perdue dans la contemplation de sa ville encore paisible, jusqu’à ce que l’écho répété d’un bruit sourd la fasse sursauter. Elle se penche. Elle a du mal à croire à la réalité de ce qu’elle voit.
Je L’ai Fait Les Fautes Je déplace. . . Je joue . . . J’aime les lettres. . . Chantons l’alphabet. . .
Torence Douglas, une jeune fille de vingt ans, s’est toujours sentie véritablement liée à Laurianna, sa tante défunte plusieurs années avant sa naissance des suites d’un tragique accident de la route. Inutile de préciser que Tommy, son père, qui était (...)
Une lettre poétique, illustrée d’images et de sons