Accueil > Littérature > Aya en convalescence... Chapitre 46
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
La Prêtresse souriante vient vers Yves Bonjour Yves, je serais tentée de t’appeler, Yves le songeur, qu’en penses-tu ?...
Bonjour Prêtresse, je suis songeur oui, mais cela vient de toi... tu m’incites toujours à réfléchir ! Justement hier tu me justifiais sur les événements sociaux que l’on voit à la télé, ce qui m’inquiétait ! C’est sur ça que je réfléchissais, tu m’as dit qu’après les troubles le calme revient toujours, mais quand même, ont-ils conscience du tort que cela provoque dans la vie des gens... et ce que cela coûte tous ces dégâts à ces mêmes gens qui sont victimes de ces désordres… ces dégâts sont à chaque manif ! Pourquoi cela n’est pas réprouvé, je ne comprends pas !
Là, Yves ! Tu me mets à l’épreuve... et bien difficile à expliquer ces effets d’humeurs dans de tels événements !
Puisque un Sage aurait dit « Reposes toi sous un tilleul son haleine fortifie ta paix intérieure !
2015
Bonjour Yves, je te trouve sérieux et penseur... cela a l’air sérieux ! Bonjour Prêtresse, oui je pensais à ce que tu me dis, sur la vie, l’âme, l’esprit, le corps, la loi des contraires, le monde parallèle, etc.
2020
Papy, le président vient de dire que l’on est en guerre, c’est impressionnant, toi Papy tu connais bien ça... qu’en dis-tu ?
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Personne ne connut par quel miracle elle sut tenir cette âme d’oiseau loin de la peine, roulant pour les fraîches nuits un nid de laine fait d’une vieille chaussette, laissant tomber de son déjeuner les nécessaires miettes, qui toujours le ramenaient, là, (…)
Il arrive souvent que l’on se trompe sur les individus. Les gens sont rarement conformes à l’idée que l’on se fait d’eux car derrière l’apparence, il y a toujours le moi indéfinissable.
Je suis Vanessa Carré, médecin à l’hôpital de Vitry, et mon frère Ludovic nouvellement promu inspecteur de police. Mes parents, Jean et Nathalie étaient fier de nous. Tout a commencé avant ma naissance.