Pascal Laurent

Edition999 rencontre Pascal Laurent

Comment écrivez-vous ?  :
J’écris plutôt la nuit de manière générale, quand tout mon petit monde est couché. Généralement je laisse venir l’envie. Je ne m’impose aucune discipline, je peux rester plusieurs semaines sans écrire et puis quand le besoin s’en fait ressentir, j’écris. De la même façon que je peux rester longtemps sans écrire une fois que c’est parti, il m’est difficile d’arrêter. C’est comme un flot continu.
Pourquoi écrivez-vous ?  :
J’aime ça, j’aime les mots, j’aime les personnages, j’aime "donner" la vie.
D’où vous vient votre passion d’écrire ? :
Aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours écris. Je crois que j’ai ça en moi. C’est naturel.
Comment vous vient le sujet d’une nouvelle ou d’un roman ? :
En dormant. Le matin au réveil, je fais le tri dans les idées que j’ai eu la nuit pendant mon sommeil. En observant aussi. Une phrase entendu, un mot, une anecdote ou une situation peuvent servir également de déclencheur. L’inspiration arrive de tous côtés, il faut juste savoir écouter.
Quels sont vos écrivains préférés ? :
John Irving, Georges RR Martin, Dan Simmons, Gabriel Garcia Marquez, René Barjavel, Léo Perutz, Tom Sharpe, Stephen King et tous les auteurs de théâtre...
Quel est votre mot préféré :
Papa !!!!!!
Quel est votre drogue favorite ? :
L’Ice tea
Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous, après votre mort, l’entendre vous dire ? 
Tu t’es trompé de jour, dégage de là !
Pensez-vous que les critiques apportent à l’écrivain ? :
Oui, si elles sont constructives. Sinon, comme disait un ami : Il vaut mieux se taire et passer pour un abruti plutôt que de parler et ne laisser aucun doute sur le sujet.
Pourquoi avez-vous choisi de publier sur Edition999 ? :
Un peu au hasard de mes pérégrinations sur le net. Le site et l’offre m’ont paru cohérents.
Avez-vous des projets en cours ? :
Plein !
Si vous désirez ajouter quelques mots aux lecteurs qui vont vous lire. C’est ici et maintenant. :
Soyez sincères dans vos critiques, dites ce que vous avez à dire ou taisez vous à tous jamais.