Thème :
Essai - Politique - Scolaire - Education
La quatrième de couverture
Différentes histoires dans des mondes différents, avec des personnes différentes, le tout réuni dans des petites intrigues qui ne demandent qu’à être découvertes.
La première page
Depuis toujours, je ne crois pas en grand chose ! A vrai dire, la seule chose en laquelle j’ai vraiment cru un jour, c’était au père Noël lorsque que j’étais enfant, et ce fut assez bref.
Ensuite, plus rien ! Les beaux discours, les belles promesses ne m’ont jamais charmé.
Les croyances, elles non-plus n’ont jamais été mon fort. Je n’ai jamais trop cru au bon Dieu, peut-être parce que ce dernier, s’il existe réellement selon certains, ne
m’a jamais fait de cadeaux...Mais à qui en a t’il déjà fait me direz-vous ? ...
Quant aux idées reçues, aux histoires qu’on nous a inculqué depuis notre plus tendre enfance à travers de jolies homélies, je n’y ai jamais adhéré !
Ma vie s’est déroulée jusqu’à aujourd’hui comme celle de n’importe quel individu vivant sur cette terre, j’ai moi aussi perdu des proches, des gens à qui je tenais plus que tout, et j’ai moi aussi versé des larmes jusqu’au plus profond de mon coeur.
Alors les histoires de paradis, de réincarnation après la mort, c’était très peu pour moi...Du moins, c’est ce que je pensais, jusqu’à l’été dernier.
Un jour, j’étais au fond de mon jardin, dans le cabanon qui se trouve à la limite de ma propriété.
Dans ce lieu particulier, ou souvent je me retire pour bricoler, peindre, et d’une manière plus générale, pour me ressourcer, j’écoute le calme ambiant, loin des bruits de la ville, des embouteillages, et du brouhaha de mes semblables.
Ici au moins, je ne suis dérangé par personne, car je ne vois personne !
Au bout de ma propriété, il n’y a que des champs et des forêts à perte de vue.
Dans mon havre de paix, je passe de longues heures, à l’écart de tout. J’en oublie le temps, la vie, les soucis, je suis comme qui dirait "déconnecté de la réalité" !
Comme souvent, dans ma " paisible retraite ", je regarde de temps en temps par la fenêtre du cabanon, bien que je sache que je ne verrai rien, ou parfois peut-être un paysan au beau milieu de ses champs, au volant de son tracteur...Mais cela reste relativement rare.
Pourtant, en ce 23 juillet, jour de mes 50 ans, je n’allais pas être au bout de mes surprises.
Hormis mon épouse Gigi qui avait invité tous mes amis à manger à la maison à l’occasion de mon " demi siècle " alors que je l’ignorais, j’étais donc, comme à mon habitude lorsque je ne travaille pas, dans mon cabanon, ou je terminais un tableau, la peintur étant ma plus grande passion depuis ma jeunesse.
J’ai 54 ans, j’ai déjà écrit 9 livres aux éditions Edilivre ( Recueil de poésies et nouvelles )
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