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Sonnets de 2 quatrains et deux tercets.
Prologue et corps du livre de 55 sonnets dont le sujet dans la deuxième partie, le coronavirus
J’ai tiré l’inspiration pour mes poésies parmi toutes les sources de la vie quotidienne.
De leur variété avant et pendant le confinement, le coronavirus a bouleversé nos habitudes. J’ai écrit sous forme de sonnets libres et semi-marotiques l’impact sur notre temps présent qu’il m’a suggéré dans cette guerre contre ce mal invisible dans sa contamination mais bien réel dans nos hôpitaux, dans la seconde partie de ce recueil.
En attendant qu’un autre Bouleau ne condamne, comme en 1674, mon art poétique plein de modernité sans m’imposer le caractère contraignant qu’offre dans son genre une règle de l’art de versifier en alexandrin, j’ai composé un florilège de sonnets en altération de forme : ABAB BAAB CCD EED qui respecte la norme des tercets français de Clément Marot.
En effet le sonnet est tombé en désuétude puis dans l’oubli avant que les littéraires du XIXème le redécouvrent. En acceptant ces nouvelles contraintes, je veux créer une forme de poésie libre car toute norme est destinée à être transgressée, le sonnet dit ’’italien’’ comportait deux quatrains et deux tercets de forme fixe : ABBA ABBA CCD EED comme le sonnet marotique.
Le mot sonnet vient du latin sonare : ’’sonner’’, mot dérivé de son, sorte de chanson ou de poésie. Ainsi Marot serait le précurseur du slam ou du Raï.
Il est de bonne maîtrise de n’y laisser entrer aucun vers faible ni rencontrer un mot déjà mis.
La rime est un enjeu esthétique, la signature poétique d’un sonnet qui se révèle l’instrument d’une véritable machine à penser.
Victimes de la contrefaçon politique et idéologique des années d’indépendance politique, ils ne seront cités dans aucune anthologie littéraire algérienne.
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