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Quelques vers sortie d’une petite plume pour dénoncer quelques excès que le monde oublies dans les tiroirs poussiéreux des oubliettes mais qui pourtant ruine la planète important dans un avenir incertain.
Dans des chaines très lointaines
Vivant sous des Horizons paisibles
Au milieu des végétations visibles
Un peuple croissait par dizaine
le matin ils allaient joyeux
Au champ cueillir des figues
L’amour planant sur toutes ces ligues
Le soir ils revenaient soyeux
Portant sur une litière le roi
Tournant légèrement la paroi
Un grand feu au milieu du village
Où toutes les femmes s’y affairent
S’occupant de faire des grillages
Un grand froid les flairent
Ainsi les jeunes pour se distraire
Du lait de vache ils vont extraire
Certain jouant de la douce musique
Des Pensées de rencontre se chuchotent ; L’une dit ; Moi je pensais que les êtres humains s’aimaient « les Uns les Autres »… De même… « Tu ne tueras point » Pourquoi vous me dites ça ??
Ce premier recueil de prose retrace des moments de ma vie, tout simplement des passages de mal-être.
Sous l’effronté amas de nuages qui jusqu’à l’horizon, Étouffe notre espace de vie, Dans la moindre fissure percée vers le ciel bleu… Il nous parvient enfin un angélique espoir !