La nature tropicale, son exubérance, sa sensualité traversent ce recueil à travers toutes les formes d’amours : maternelle, filiale, amicales ou charnelles mais où planent aussi les souffrances de l’oubli et l’éloignement physique et moral.
Perdu dans ses vieux souvenirs, Al. O’Wolf livre dans ce recueil toute la rage qu’il n’a pas su dire au moment opportun à ceux qui l’ont offensé. Un carnet libérant ses pensées les plus folles, mais surtout ses délires les plus obscurs.
Pourquoi ce titre ? - Pour dire que la plume change de regard, à travers ses différentes lunettes, chaque fois que le poète change de sentiments, que la plume pleure quand le poète souffre pendant une traversée du désert, que la plume danse quand le poète (…)
26 septembre 2020, par Frédéri MARCELIN
je sens la détresse d’un homme de bien, en lutte avec lui-même et son pays de misère. La colonisation à laissé sa place à ceux qu’elle avait formé....Inégal, poésie sensitive, plus d’écriture ne nuirai pas.