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Albert SPEEKAERT (1915-1982), Rédemptoriste flamand, professeur de langues germaniques dans un collège de son ordre, à Essen (Belgique). Spécialiste du grand poète flamand Guido GEZELLE (1830-1899), sur lequel il publia une thèse. Il reçoit deux prix littéraires, en 1946 et en 1964. L’auteur publia à compte d’auteur ; prêtre, il n’a aucun descendant : ses écrits sont libres de droits.
Albert Speekaert (1915-1982) dont nous présentons l’œuvre aujourd’hui au public francophone est demeuré peu connu de son vivant. S’il eut une certaine activité publique, la part la plus belle, la plus profonde de son être est restée son secret, qu’il a confié à quelques recueils de poésie publiés de 1943 à 1963, avec le dernier, inédit, de 1977, et c’est ce secret, l’âme de son âme que le présent ouvrage met au jour pour la première fois.
Né le 1er février 1915, en pleine occupation allemande de la Belgique, le quatrième d’une famille modeste de cinq enfants, à Vosselare près de Gand, il est prénommé Albert, du nom du roi des Belges, symbole du patriotisme face à l’ennemi. Enfant studieux, modèle, sérieux, profond, il fait ses études secondaires à partir de onze ans, chez les Rédemptoristes, en leur collège d’Essen, au nord d’Anvers, dans un cadre charmant de forêts et de landes. Là, il reçoit l’appel de Dieu, entre au noviciat des Rédemptoristes et est ordonné prêtre à Louvain en 1938. Aumônier militaire en 1940, il est fait prisonnier, et lorsque la colonne passe dans son village, il s’en échappe et se cache. Libre, il reprend ses études supérieures à Louvain dès juin 40. Sa thèse de licence porta sur le prêtre poète Guido Gezelle (1830-1899), le plus grand poète flamand de son temps et l’un des initiateurs du mouvement de renaissance de la langue et de la culture flamandes au XIXème siècle.
Le mensonge, un simple mot, qui détruit, anéanti, et tous ceux qui l’exploitent pour s’enrichir, au final se détruisent... En coupant le mot en deux, nous trouvons la vérité sur le mot mensonge... Je mens, le verbe mentir : fabuler, calomnier, (...)
Comme nombre de gamins de ma génération, je suis allé au "caté". J’y ai récité le "je crois en Dieu", le "Notre Père" et le "je vous salue Marie" sans trop me poser de questions... Des années plus tard, revenant sur les origines de la religion qui avait bercé mon (...)
Stella est une journaliste et décide de faire le tour du monde et faire un point sur l’humanité et les relations humaines et sociales . Elle va apprendre des autres et donnait de sa richesse en retour