Il n’avait pas de nom. Certain l’appelait le marcheur. Ni famille, ni ami. Ni envie, ni passion. Il était homme à déambuler, à la recherche d’elle, qu‘il avait un jour perdue. Seul, il cherchait son amour oublié.
Il était allongé par terre. Il resta dans cette position plus de deux heures de temps avant d’ouvrir un œil puis un autre. L’homme releva la tête. Il se trouvait dans un endroit caverneux, sépulcral et dépaysé. L’atmosphère était macabre. Il fut envahit (…)
Je suis là, dans cette pièce à attendre que la voix me parle à nouveau. Pourquoi suis-je ici d’abord ? Dans une pièce où le blanc est la seule couleur. Et ce miroir en face de moi ? Quand je me regarde dedans, je vois un homme qui ne peut même pas bouger (…)
4 juillet 2006, par Denis D.
Bravo, j’adore. Vraiment genial.
Du suspens, de bonnes idées, tout y est.
A+ et encore bravo