Accueil > Classique > La Maison du chat qui pelote

Classique

La Maison du chat qui pelote

Honoré de Balzac (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 68

Livre publié le 29 mai 2018

Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Les statistiques du livre

875 vues
492 téléchargements au total.
1 téléchargement sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
269 PDF depuis le début
155 Epub depuis le début
68 Mobi depuis le début

Evaluer le livre "La Maison du chat qui pelote"

3 votes

Note globale pondérée

3.67/5 sur 3 votants

Thème :
Classique

La quatrième de couverture

Au milieu de la rue Saint-Denis, presque au coin de la rue du Petit-Lion, existait naguère une de ces maisons précieuses qui donnent aux historiens la facilité de reconstruire par analogie l’ancien Paris.

La première page

Les murs menaçants de cette bicoque semblaient avoir été bariolés d’hiéroglyphes. Quel autre nom le flâneur pouvait-il donner aux X et aux V que traçaient sur la façade les pièces de bois transversales ou diagonales dessinées dans le badigeon par de petites lézardes parallèles ? Évidemment, au passage de toutes les voitures, chacune de ces solives s’agitait dans sa mortaise. Ce vénérable édifice était surmonté d’un toit triangulaire dont aucun modèle ne se verra bientôt plus à Paris. Cette couverture, tordue par les intempéries du climat parisien, s’avançait de trois pieds sur la rue, autant pour garantir des eaux pluviales le seuil de la porte, que pour abriter le mur d’un grenier et sa lucarne sans appui. Ce dernier étage était construit en planches clouées l’une sur l’autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison.

  

Biographie de Honoré de Balzac

Écrivain français né à Tours en 1799, décédé à Paris en 1850, Balzac (qui ajoutera une particule à son nom en 1831) est issu de la petite bourgeoisie provinciale. Sa mère l’envoie à l’âge de huit ans chez les oratoriens de Vendôme, où il reste pensionnaire pendant six ans et semble préférer la...

Du même auteur

Madame Firmiani

Madame Firmiani

Beaucoup de récits, riches de situations ou rendus dramatiques par les innombrables jets du hasard, emportent avec eux leurs propres artifices et peuvent être racontés artistement ou simplement par toutes les lèvres, sans que le sujet y perde la plus (…)

La vendetta

La vendetta

En 1800, vers la fin du mois d’octobre, un étranger, suivi d’une femme et d’une petite fille, arriva devant les Tuileries à Paris, et se tint assez long-temps auprès des décombres d’une maison récemment démolie,

Une double famille

Une double famille

La rue du Tourniquet-Saint-Jean, naguère une des rues les plus tortueuses et les plus obscures du vieux quartier qui entoure l’Hôtel-de-Ville, serpentait le long des petits jardins de la Préfecture de Paris et venait aboutir dans la rue du Martroi, (…)

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Que lire après : La Maison du chat qui pelote

La vampire

La vampire

Le commencement du siècle où nous sommes fut beaucoup plus légendaire qu’on ne le croit généralement.

La Curée

La Curée

Au retour, dans l’encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas. Un moment, l’embarras devint tel, qu’il lui fallut même s’arrêter. Le soleil se couchait dans un ciel d’octobre...

L’homme aux quarante écus

Un vieillard, qui toujours plaint le présent et vante le passé, me disait : ” Mon ami, la France n’est pas aussi riche qu’elle l’a été sous Henri IV. Pourquoi ? C’est que les terres ne sont pas si bien cultivées ; c’est que les hommes manquent à la terre, (…)