Sam geignait, la queue basse, dont le panache était devenu un ramasse-poussière pour le parquet de l’appartement. Le Berger Allemand décrivait des huit devant la porte de l’entrée. Michel feignit de ne pas l’entendre et prit la télécommande de la (…)
Nouvelle version 2011
Dans cette maison où Héloïse vit avec ses parents, quelques unes des pierres, dans les murs, deviennent incandescentes telles des braises ardentes ; le maléfice semble se poursuivre à l’extérieur, le long des trottoirs, sur d’autres murs, sur d’autres (…)
2011
Deux années après les incroyables et tragiques événements qui ensanglantèrent la cité d’Angers, un nouveau péril se profile à l’horizon. Persécutés par une armée de sinistres soudards, surgissant de nulle part, sous l’égide d’un redoutable et redouté (…)
Je ferme les yeux sitôt que ma femme éteint la lumière mais la ruse ne prend pas, mon cerveau ne tombe pas, ne tombe plus dans le piège délicieux de ce que l’on nomme le sommeil. Aussi, quand il sonne trois heures (la troisième de la nuit, ne vous (…)
La Prêtresse Aya rejoint les enfants bien installés dans l’herbe du parc ; Ah ! Ce parc se dit elle c’est une œuvre des plus parfaite… ce parc a une âme qui festoie copieusement a chaque saison de l’année et qui fait de nous des heureux invités ! Bonjour (…)
20 mai 2008, par David
L’histoire, l’intrigue, est bonne mais il y a toujours certaines phrases que je trouve trop "longues" et ça me fait perdre le fil sur certains passages.