Sam geignait, la queue basse, dont le panache était devenu un ramasse-poussière pour le parquet de l’appartement. Le Berger Allemand décrivait des huit devant la porte de l’entrée. Michel feignit de ne pas l’entendre et prit la télécommande de la (…)
Nouvelle version 2011
Dans cette maison où Héloïse vit avec ses parents, quelques unes des pierres, dans les murs, deviennent incandescentes telles des braises ardentes ; le maléfice semble se poursuivre à l’extérieur, le long des trottoirs, sur d’autres murs, sur d’autres (…)
2011
Je ferme les yeux sitôt que ma femme éteint la lumière mais la ruse ne prend pas, mon cerveau ne tombe pas, ne tombe plus dans le piège délicieux de ce que l’on nomme le sommeil. Aussi, quand il sonne trois heures (la troisième de la nuit, ne vous (…)
Nouvelle version 2011
Amandine est bien connue au village. Une mésaventure avec Chat-Roux l’a fait tomber dans les escaliers. Enfin remise sur pieds, elle retrouve son ami Petit-Pierre, compagnon de ses aventures dans le bois de la Tourtaude.
– Bonjour Yves, tu me parais très absorbé... est-ce grave ? Bonjour Prêtresse, grave, sans l’être ! Je bute sur tes expressions, comme "les lois sensorielles, lois temporelles, La conscience, le monde de l’esprit, tu en parles comme si c’était des domaines (…)
Il s’agit de l’histoire d’un homme idéaliste du nom de Demba, ravagé par la disparition de la seule femme qu’il ait réellement aimé. Il lutte pour survivre avec sa fille qui est le seul lien avec son passé. L’étude ethnologique d’une population minoritaire (…)
8 décembre 2017, par LeDormeurduvol
Voilà du sang d’encre comme on les aime, dans un style peut-être un peu différent que d’habitude, plus gothique, plus onirique, plus baudelairien. Les mots s’entrechoquent, ciselés au couteau, ils forment le chant des âmes qui attire le voyageur lecteur. C’est un voyage, c’est une errance, je dirais plus, c’est du Hocfell....
4 décembre 2017, par siatkowski
Histoire poignante où l amour est si fort, émue jusqu’aux larmes.