Il avait quitté son lieu de travail dans la lumière du couchant. C’est avec plaisir qu’il roulait lentement sur la route ombragée où les arbres conservaient encore leur feuillage. Les prémisses de l’automne se devinaient en quelques touches légères de (…)
2016
Après une folle journée (cf. Les dernières Gouttes), j’ai pris du recul... Mais la course de la vie ne laisse aucun répit. Je me suis de nouveau trouvé pris dans la folle dans des rancoeurs et ambitions, cette fois au centre de la mêlée. Tapies dans (…)
Une disparition inexpliquée Un courrier mystérieux et introuvable Laurent se retrouve seul à mener sérieusement l’enquête Jusqu’à ce qu’il rencontre Miquie
Jeudi 20 octobre 1960. Comme chaque matin, Landrieux allait prendre son train. Il passait tous les jours devant une cabine de photomaton.
18 juin 2015, par Julien Martin
Je tiens à remercier Léo Touroult qui a joué un rôle efficace en tant que correcteur pour les écologistes gentils et impitoyables.