Accueil > Littérature Erotique > Enlève le haut. Pour le bas, j’arrive
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Être attaché(e) peut augmenter singulièrement le plaisir. Encore faut-il que l’autre sache comment faire… Voici quelques nouvelles qui mettent en scène de belles femmes, de beaux hommes, d’autres nettement moins bien, des vampires, et même Adam et Eve !
Ces histoires m’ont été dictées. J’ai imaginé un personnage et celui-ci m’a raconté son histoire, tout d’une traite. Je pensais que les choses allaient bien se passer… Ce n’est pas toujours le cas. Je n’ai rien pu y faire. Comme dans un rêve, on ne décide pas !
Ces histoires explorent le thème du bondage. J’ai voulu distraire, voire amuser, mais non choquer. Elles sont toutes racontées par la victime. Femme ou homme, celui qui est attaché a beaucoup de chose à dire.
Avec les cordes (et autres accessoires), on ne contrôle plus rien. On donne tout, son corps et même sa pensée, à l’autre, qui en fait ce qu’il veut. Ne rien savoir de l’instant qui vient suscite l’angoisse, et donne au plaisir une singulière intensité.
Tout est décrit dans le détail, les accessoires sont vendus sur Internet. Vous pouvez les tester par vous-même. Mais, attention, les vampires, ça mord !
Je suis ce qu’on appelle un « dragueur invétéré ». Le seul (gros) problème est que je m’appelle Jean Dupont. Déjà, dans les quartiers chics, comme le 6ème où j’habite, je perds 20 % de mon potentiel quand je dis mon nom. Mais, dans le Marais, par exemple, c’est 80 ! Je me suis fait des cartes de visite, avec des noms divers, un par jour. Lundi, je m’appelle Lilian Gartner, mardi Mike Sachs, mercredi Marc Pfeiffer, jeudi Jason Hirsch, vendredi Vianney Seidel, samedi, c’est Chabat, alors je me nomme Abraham Koch. Dimanche, dans les rues il n’y a que des familles et des bonnes d’enfant, je me repose, comme le Seigneur !
En ce mois d’octobre 2019, vous étiez au lit, à faire de beaux rêves. À Arkhangelsk se tramait un des projets les plus machiavéliques de ce 21ème siècle. M. Vladimir Poutine, en difficulté pour renouveler l’accord des missiles avec les États-Unis, décide ce que (...)
2020
L’histoire d’un vizir, très occupé et pressé, qui veut des femmes « chaudes » tout de suite. L’auteur, un chrétien, Jean, son Chef des eunuques doit lui « préparer ».
2020
Après le succès d’Enlève le haut ; pour le bas, j’arrive, j’ai voulu poursuivre sur le bondage. Ces histoires sont toutes racontées par la victime, qui décrit, avec tous les détails, sans pudeur, ce qu’elle ressent. Des femmes, qui n’ont pas froid aux yeux, (...)
2020
Vos commentaires
4 commentaires
Le 9 février 2020, par alfred anchetain
Bonjour,
Merci pour votre mail. Mais je ne comprends pas le mot "genré".
Je pense que vous avez voulu dire "sexué" ou "sexiste".
Si c’est cela, vous avez dû remarquer que ces récits ont trait au bondage, qui est la pratique la plus machiste qui soit.
J’ai voulu tempérer ce thème en faisant toujours raconter l’histoire par la "victime".
Mon idée est de montrer que (1) cette pratique n’est pas seulement sadomasochiste, et qu’elle peut être plaisante, même pour cette "victime" et (2) que d’être attaché(e) révélait en nous des sentiments curieux, qui n’ont rien de sexuels.
Je me suis amusé à raconter ces histoires dans des contextes très divers, pour montrer la richesse possible de ce thème,
Merci pour votre commentaire,
Bien cordialement,
Alfred Anchetain
Le 8 février 2020, par jamanda
je pense que le commentaire veux dire trop "genré" on aime pas forcement ce genre de pratique, et là il y en a beaucoup !! Sinon l’écriture est agréable
Le 3 février 2020, par loksi
trop stylé
^ Le 4 février 2020, par alfred anchetain
Bonjour,
Merci pour votre message, mais qu’entendez-vous par "trop stylé" ?
Est-ce trop sophistiqué ? Trop compliqué ?
En tant qu’auteur, je suis ravi d’avoir des précisions, pour pouvoir me corriger,
Bien cordialement,
A. Anchetain