Le 15 juillet, j’ai eu une conversation téléphonique avec une avocate qui pourrait me représenter dans mes affaires en cours (notamment dans la chambre disciplinaire). Elle m’a dit « NON » parce que je n’ai pas de dossier solide.
Un récit écrit il y a 5 ans... Exhumé, rafraîchit. Le timbre…. C’est le timbre qui avait attiré mon attention quand j’avais ouvert la boîte aux lettres. Ni une facture, ni le signe quelconque d’emmerdements dont notre bon maire ou la préf’ savaient nous (…)
Mes yeux s’ouvrent sur une tache de soleil filtrée par les volets clos. C’est la première chose que je vois. Avant, dans une époque que j’ai de la peine à imaginer maintenant, le cadre lumineux du réveil était ma première image de la journée.