Perdu dans ses vieux souvenirs, Al. O’Wolf livre dans ce recueil toute la rage qu’il n’a pas su dire au moment opportun à ceux qui l’ont offensé. Un carnet libérant ses pensées les plus folles, mais surtout ses délires les plus obscurs.
Ces poèmes, volontairement limités en nombre, représentent la pensée profonde de l’auteur.
Ce recueil embrasse des chairs fractales à décomposition noétique des abstractions matricielles ou coulent des métaphores polymorphes, pleines de neurologies transcendantales, germées de synthétismes ou ruissellent des corporéités mentales, composées de (…)