— Bonjour Yves, qu’as-tu comme curiosité aujourd’hui ? Bonjour Prêtresse ! Je pense à ce que tu m’as dit, de la majestueuse volonté de mon esprit pour sa polyvalence, tu en parles comme si c’était quelqu’un, cela me fait drôle !
Lorsqu’il retourna pour la dernière fois dans ses îles Marquises qu’il avait tant aimées, Paul Gauguin, ruiné, malade, rejeté par la critique, savait qu’il revenait pour mourir. Nous étions en 1897, et Gauguin entreprit alors de peindre une immense (…)
Bienvenue à vous tous (et toutes), infatigables baladeurs de la langue, pour un périple bercé de mots et d’images.