Jeudi 20 octobre 1960. Comme chaque matin, Landrieux allait prendre son train. Il passait tous les jours devant une cabine de photomaton.
Notice sur LES HORIZONS OBSCURS. Ce roman est une symphonie de la douleur et de la mort ;c’est une fresque vivante où le mal et le bien s’affrontent avec violence.. Le principal protagoniste,ambitieux et arrogant ,devenu un homme important,après s’être (…)