MA VIE D’ENFANCE dans lequel Gbèmèho revient sur son enfance compliquée, dans une famille pauvre frappée par le malheur alors que sa mère se bat pour tenir le coup, est un vrai chef-d’œuvre.
Ils ont été mythifiés au point où on a oublié qu’ils étaient d’abord des criminels. Il y a eu mort d’hommes et en pleine colonisation. Ils n’avaient en tête que la vengeance. Ils nous ont aliénés davantage.
A propos d’un article sur les langues disparues. Cette espèce curieusement « intelligente ? » dont l’une, l’un et l’autre être, peuvent lire ces lettres assemblées.
30 avril 2020, par Richard MITHOUARD
Salut Manu,
Je viens de lire les 50 premières pages de ce i-bouc. Bon ! C’est chiant ! Pas le contenu, mais de lire sur écran (déjà qu’on y passe beaucoup de temps...). Alors, question ; est-ce- qu’il existe en vrai ton bouquin ? Pour avoir le plaisir de feuilleter un vrai livre quoi, en papier, avec une couv ; et une quatrième... Si c’est le cas, j’achète !
Tes récits me plaisent bien et me rappellent mon enfance aussi (au début) de ton ouvrage.
A bientôt de te lire et merci encore ?
Amitiés,
Richard.
28 avril 2020, par Nicolle
Bravo Manu
bises
nicolle