L’Europe et Emmanuel Macron ont été les deux vrais vainqueurs de l’élection européenne. L’Europe pour la participation au scrutin, pour la première fois en hausse depuis 1979. Emmanuel Macron en faisant oublier le clivage droite-gauche. Ses adversaires (…)
2021
Emmanuel Macron, qui avait promis de tirer toutes les conclusions de cette consultation inédite qu’était le Grand débat, a exposé ses réponses lors d’une conférence de presse le 25 avril au palais de l’Elysée.
2021
Cinquante ans après Mai 68, les conditions pour une insurrection de même ampleur semblent réunies, tant l’accumulation de mouvements sociaux simultanés est spectaculaire. Assistera-t-on à un bis repetita de Mai 68 en mai 2018, ou seulement à sa parodie ? (…)
2021
Dominique Savail vit avec son gérant, Ray Vallin et l’aime de coeur. Si celui-ci est volage, elle le sait. Malgré sa liaison avec Sandrine, une détenue en semi-liberté, qu’elle ignore, Julia, la fille venue de Floride rend jalouse celle-ci. Julia et (…)
1967- Quatre jeunes gens très amoureux n’ osent même pas se le dire. Il faut bien comprendre qu’en ce temps là, tout était bien plus compliqué que de nos jours ! Charlotte Beaumartin et Paul Antoine de Guaybonzac se croient gravement fâchés pour une (…)
Chloé découvre le plaisir lesbien et l’adultère pendant ses vacances.
27 mars 2021, par Alfred Anchetain
Bonjour Michel,
Puisqu’on se connaît bien, par courriels interposés (!), une question demeure pour moi : quelle est la part de la "vérité", du texte de cette femme, qu’elle se nomme Claire ou non, et de ton œuvre à toi ?
Bien évidement, je ne peux avoir accès au texte original, ce que je ne demande pas.
Mais, en tant que "psy", j’aime aller au delà de ce qu’on me raconte. J’ai l’instinct d’un policier, et, pire encore, d’un "chien renifleur" (!).
Ma question n’est d’ailleurs pas à propos de Claire, mais à ton sujet.
Je me dis : "Supposons que je lui écrive, en prétendant être une femme, et que je lui dises de telles choses... Combien de temps va-t-il me croire ?"
Je pourrais faire "pire" et demander à une amie, qui complète son salaire en faisant du téléphone rose, de te dire ces choses à ma place. Elle est très forte...
Veux-tu tenter l’expérience ?
Tu en feras trois autres romans, au moins ;-))
Amitiés,
Alfred
^ 30 mars 2021, par Michel CANAL
Bonjour Alfred,
La curiosité est un vilain défaut et certaines questions doivent rester sans réponse. Tant pis pour le "psy", Dieu merci il n’y a plus de "Gestapo" et cette histoire sentimentale ne mériterait pas d’être arrêté pour émancipation d’une jeune femme qui n’était plus mineure depuis longtemps.
L’histoire, pour singulière qu’elle fut, n’en fut pas moins remarquable et je suis plutôt fier d’avoir satisfait à l’envie de la relater à un moment opportun, d’une écriture que Claire n’aurait pas reniée, pour faire passer le message d’émancipation réussie et sans tabous conformément à son intention exprimée.
Mais ce qui a fonctionné une fois dans un contexte particulier qui avait permis cette évolution appartient à un passé révolu. Ni le "téléphone rose", ni du "rentre-dedans" épistolaire n’auraient aucune chance de me séduire aujourd’hui.
Amitié.
Michel
19 février 2020, par Jean-Michel
Une nouvelle version est disponible dès maintenant. Bonne lecture à tous. Jean-Michel
27 janvier 2020, par Service de Lecture
Une nouvelle version pour liseuse a été mise en ligne.
Merci à Michel Canal pour cette version optimisée.
9 janvier 2020, par Michel CANAL
Merci infiniment, Didier Leuenberger, pour cet avis d’écrivain talentueux, spécialiste du genre (contrairement à moi qui n’ai été qu’un auteur occasionnel et de circonstance).
Oui, nous nous connaissons sur une autre plate-forme, mais un avis sur celle-ci a une plus grande valeur car ici tout est analysé avant acceptation, rendant difficile, voire impossible, tout désagrément : pas d’écrits de piètre qualité, pas d’avis désobligeants pour nuire à l’auteur.
J’apprécie les compliments sur la qualité du texte et de ma plume. J’ai en effet, tenté d’éviter autant que possible la crudité des mots qui caractérisent certains actes. Dans ce domaine, tout peut très vite basculer dans la vulgarité. Je me suis rendu compte que des auteurs femmes osent plus que nous, se sentent plus libres dans l’utilisation des termes appropriés, sans réactions s’agissant d’elles, alors qu’ils donneraient lieu à critiques sous la plume d’auteurs hommes... Est-ce l’époque qui veut cela sous l’influence grandissante des féministes ?
Cher Didier, j’espère avoir le plaisir de vous découvrir prochainement à Edition999 où vous avez votre place, à la rencontre d’un autre lectorat.
Amitié.
9 janvier 2020, par didier leuenberger
Cher Michel, j’arrive enfin pour donner mon opinion sur ce site, puisque je l’ai déjà fait sur un autre à propos de ce récit. J’ai été bloqué durant les Fêtes, je ne pouvais pas venir sur le site. Bref ! Me voici enfin.
Alors ce livre ? car c’en est un et pas des moindres... Et bien vous savez déjà plus ou moins ce que j’en pense, et vous n’avez pas à rougir de votre talent d’écrivain et je dis bien d’écrivain. Ce texte remplit toutes les qualités requises pour ce statut qu’on n’ose (nous les auteurs) murmurer à nos oreilles pudiques donc je vais faire siffler les vôtres en donnant mon avis sur vos mots. Jamais vulgaires, jamais choquants (il y en a tellement qui font de la surenchère dans ce genre) et en plus de ça, je trouve personnellement ce texte très poétique. Je suis touché par votre plume de très bonne qualité. On se laisse porter par ce destin et les démarches de votre héroïne. Une grande fluidité et on se surprend à arriver au bout de ce voyage qu’on aimerait continuer, mais pour chaque livre il y a le mot fin quelque part, même si un livre n’est jamais vraiment fini ni accompli. Il évolue comme son auteur et peut s’étoffer par l’expérience. Je réitère donc mon admiration et vous dit BRAVO pour ce travail d’excellente facture. Amitiés. didier
12 décembre 2019, par Duncan Cartwright
Merci, Michel, pour tes compliments. Ils me touchent sincèrement. En fait, pour la lecture de mon roman "Où seras-tu, hier ?" ne te presse pas trop. Michèle m’a donné des avis précieux et pertinents pour l’améliorer et je suis occupé à en modifier le récit. Je le republierai quand il sera prêt, d’ici fin janvier ou début février, sans doute. Passe une bonne soirée, Michel. On aura encore l’occasion de se contacter. D’ici-là, je te souhaite également de très bonnes fêtes. Duncan,
12 décembre 2019, par Michel CANAL
Merci Duncan pour ton commentaire d’auteur à succès.
Tu penses que je suis éclectique. En fait, j’étais venu à l’écriture pour relater cet épisode de ma vie. Je ne pensais pas alors que j’aurais envie d’écrire autre chose. Sans doute que mon âme d’historien a pris le dessus pour m’y inviter.
Pour ce qui est du nombre de lectures, je suis surpris de la progression de l’audience : 683 vues pour le premier, publié le 24 novembre, 18 votes et 8 commentaires ; 803 vues pour le second, publié le 27 novembre, 20 votes et 8 commentaires. J’ose espérer que je la dois à la qualité de mes écrits et pas seulement au genre. Mais tout cela, je te le dois, car c’est grâce à toi, par l’intermédiaire de Cristina, que j’ai eu connaissance d’Edition999.
Il faut absolument que je trouve un moment pour aller sur tes écrits, car si moi je suis un auteur occasionnel, toi tu es un maître de l’éclectisme.
Avec toute ma sympathie, cher Duncan.
11 décembre 2019, par Duncan Cartwright
Bonjour, Michel. Je suis en admiration devant l’éclectisme dont tu fais preuve en matière d’écriture. Ce récit est une très belle réussite. Bravo. Je me réjouis pour toi du nombre croissant de lectures. Avec toute ma sympathie, Duncan,
6 décembre 2019, par Michel CANAL
Merci Michèle pour ton commentaire, lequel comme tu le soulignes, t’a permis d’élargir le cercle de tes lectures, au moins sous forme de parenthèse.
Ce que je retiens surtout, c’est ton évolution depuis 2015. Tu as relevé, après comparaison avec d’autres lectures de cette catégorie, ce que j’apprécie « que cela devient rare de proposer une image non dégradante de la femme, une vision empreinte de respect. »
Je suis très attaché à cette vision car oui, malgré des apparences parfois trompeuses, cette histoire, en symbiose avec la personnalité de Claire (jeune femme brillante, cultivée, attachante, forçant l’admiration...) est un hymne à la femme.
Oui, il me semble , au vu de la progression journalière à deux chiffres, que le lectorat d’Edition999 a réservé un accueil satisfaisant à cette histoire en deux volumes qui se complètent. Les commentaires pertinents d’auteures talentueuses permettront aux suivants d’en découvrir des coulisses que la pudeur a peut-être occultées.
En espérant que toi aussi, convaincue du sérieux de cette plateforme, tu auras envie d’y publier tes écrits dont le succès est déjà reconnu.
Avec l’expression de mon amitié. Je t’embrasse. Michel
5 décembre 2019, par Michèle CHABERT
"Un flot d’érostisme à l’état pur qui, pour une fois, ne réduit pas l’homme à l’état de phalus écervelé ! Tout en matière d’excitation et de sexe est évoqué dans un style agréable à lire et pas trop cru. Vous avez su aller loin dans la description de l’escalade du plaisir sans déboucher sur des déviances, ce qui n’est pas aisé. Bravo et grand merci pour ce partage. "... Cela m’a fait rire d’aller pêcher sur MBS ce premier commentaire de ton roman qui a plus quatre ans ;-) . Je ne te connaissais pas encore, et nous nous vouvoyions... Depuis, et après avoir lu de nombreuses oeuvres de la catégorie rose (que j’ai fini par bouder, d’ailleurs), j’ajouterai que cela devient rare de proposer une image non dégradante de la femme, une vision empreinte de respect. Je n’aime pas cette nouvelle mode de la performance à outrance, cette mise au défi qui tend à confondre liberté sexuelle et perversité, érotisme et pornographie, séduction et vulgarité. Je te souhaite, à toi et à Claire, de belle rencontres au travers du nouveau lectorat d’edition999. Je t’embrasse. Michèle