La Prêtresse et Yves se rejoignent sur le banc. La Prêtresse est stupéfaite par le besoin de savoir de cet adolescent !
Dans la grande ville de Marseille, parmi cette jeunesse désœuvrée et parfois violente grandie Olivier. Cet adolescent timide découvre l’amour, le sens de l’amitié, fait l’école buissonnière, mais découvre aussi la délinquance et l’argent facile. Entraîné (…)
Thierry – Benjamin Kayumba Kalenga Yamena Né le 16 Septembre 1969 à Mukubu,Territoire de Malemba-a-Nkulu dont la chefferie de Kayumba est le fief de ses parents Kasongo Placide et Ilunga Kayumba Félicité. Après ses études primaires à l’école primaire (…)
7 avril, par Maria perle rare
Salut M Haddou
Je viens de terminer la lecture de votre livre "L’Histoire de la mélancolie" et je tiens à vous exprimer mon admiration pour la profondeur et la richesse de votre analyse. Votre exploration de l’évolution du concept de mélancolie à travers les âges, ainsi que son impact sur la littérature et la philosophie, est véritablement éclairante.
En particulier, j’ai été captivée par la manière dont vous avez lié la mélancolie à la vie et à l’œuvre de Gérard de Nerval. Votre analyse de "Aurélia" et du poème "El Desdichado" offre une perspective nouvelle et profonde sur la manière dont la mélancolie peut influencer la création artistique.
Votre travail m’a non seulement permis de mieux comprendre la mélancolie dans un contexte historique et littéraire, mais m’a également incitée à réfléchir sur sa présence et son rôle dans nos vies contemporaines. Merci pour cette contribution précieuse à la compréhension de ce sujet complexe.
Je vous écris avec beaucoup de douceur. je suis quelqu’un de sincère, qui aime écouter, apprendre et créer des liens vrais.
Quelque chose en vous m’a touchée… peut-être votre regard sur les choses. Si vous avez envie de répondre à ce petit message venu du cœur, je serais très heureuse.
Doucement,
Maria, ton admiratrice
8 juin 2022, par Jean ANDRIS
Cher Collègue
Grand merci pour la mise à disposition de ce beau travail. Comme vous, je suis de ceux qui considèrent que la connaissance est patrimoine de l’humanité et doit donc être mise à la portée de tous. En tant qu’historien de la médecine, j’apprécie au plus haut point votre apport au sujet.
Cordialement
J. Andris