LES AVENTURES DE JOHN ANTOINE NATHAN INDIANA ART (Le cas n° 4)

À propos de “Nolli secondus” mon ouvrage précédent. Si vous avez pu lire mon dernier ouvrage Nolli secondus vous aurez pu remarquer un chapitre dans lequel John Antoine Nathan alias Indiana Art le héros personnage principal, découvre les mondes irréels. Comme mon contrat d’auteur me demande de m’expliquer sur le sujet de mes livres en cours d’écriture en même temps que d’en faire part à mon lecteur, lecteurs dirais-je. Parce qu’il faut toujours s’expliquer à propos de ce qui est dit ou même ce qui ne l’est pas du reste ! Je vais tenter de vous en donner des explications, dans la lettre qui suit en dessous. Bonjour chers lecteurs amis et amies, Si vous avez lu mon dernier ouvrage, c’est parfait, je vous remercie. Je rajouterais à cet ouvrage tout d’abord pour satisfaire et répondre à mon lecteur préféré que vous êtes peut-être aussi. Qui me pose la question de savoir précisément de l’acquis et de l’inné ce que j’écrivais. Alors voilà ! Il ne s’agit uniquement que de science-fiction que j’écris ça tant bien que mal, quelque chose d’irréel en somme. Quelque chose qui ne possède en soi uniquement qu’un gène, une structure architecturale sémantique non-constructive et qui est très exactement par sa simple définition en dehors de la création soit elle-même génétique. En-dehors de toute création architecturale, en dehors de toute construction, de tout édifice échafaudé avec des fondations comme on pourrait l’entendre échafauder avec une structure, des piliers de soutènement, une pierre angulaire, etc. En-dehors de la création ! Donc qui ne touche évidemment pas à l’intégrité du chromosome dans le gène et par cela même si l’on pouvait comparer à la métaphore qui suit : “qui est à 6 000 années-lumière en dehors de tout conflit guerrier ethnique quel qu’il soit”. Imaginez un conflit à 6 000 années-lumière de là à moins de posséder un très puissant super télescope électronique à l’intérieur d’un vaisseau spatial lui-même non très loin aux alentours de là. Vous conviendrez que rien ne peut paraître réel ni même visible. En-dehors de la création ! Qui pourrait être perçu dans ce cas comme la succession elle-même de la destruction de ce même gène architectural constructeur d’une réalité. Ou alors me tromperais-je. Mais néanmoins et ceci dit, trouvez-vous ça normal vous cette chose ce paranormal en même temps qu’au-dessus des autos et de nos maisons, imperturbables passent des oies sauvages en pleine migration vers le sud. Hein ?... .