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Accueil > Essai - Politique - Scolaire - Education > J’accuse l’Afrique, j’acquitte l’homme blanc - Dossier n°1
On crie sous et sur les toits, à l’école et dans les lieux de conférences, à la télévision et sur les réseaux sociaux que l’homme blanc est notre premier malheur en Afrique.
Je suis totalement d’accord si nous allons nous plonger dans une réflexion aussi ancestrale que lointaine : l’esclavage comme vous avez l’habitude de le dire. L’homme blanc était venu nous prendre nos vaillants travailleurs. Je suis d’accord. On a inclu des africains dans certaines guerres qui ont réduit le taux de la population africaine. C’est vrai aussi.
Le thème “esclavage” est purement ancestral, donc historique. Le passé ne construit jamais le futur. C’est le temps présent qui prépare le futur. Est-ce à dire que ceux qui ont été enlevés à l’Afrique étaient ceux-là qui devraient donner une image à l’Afrique ? Si c’est le cas, il faut noter que vous qui avez cette idée dans la tête n’êtes que des esclavagistes. Vous utiliserez vos frères pour vous travailler.
Mon livre "LE MAL QUI SOURIT" est un petit livret. Dans livre, j’ai juste répondu à certaines personnes qui m’ont réprimandé pour avoir "J’accuse l’Afrique, j’acquitte l’homme blanc" J’ai décris en quelques pages, les maux qui minent l’Afrique.
2019
Pour les "gens ordinaires", c’est une surprise que donne à voir cette promenade dans les sources écrites du christianisme des premiers temps, appelé "primitif" par commodité.
Cet ouvrage présente les travaux de cinq auteurs africains qui ont en commun l’apprentissage de l’histoire. Provenant des Universités d’Abomey-Calavi, Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan et Charles de Prague, ils laissent à la postérité des contributions (...)
Écrire c’est bien, mais savoir publier son livre c’est encore mieux. Ce livre présente toutes les étapes de l’autoédition jusqu’à la publication du livre. Ça motive et ça donne une envie de se lancer dans la publication d’un livre par soi-même.
15 février 2019, par Évelyne Thinet
Le texte est fort, aussi dérangeant pour le blanc comme pour le noir, le jaune et autre. Le genre humain n’en a pas terminé de construire son chemin d’humanité. J’ai aimé Monsieur Godo, vous m’avez percutée. Évelyne Thinet
3 février 2019, par Une lectrice
Bonjour,
Vous êtes jeune, et cela fait plaisir de vous sentir à l’aise sur des sujets qui ont touchés beaucoup de peuple, à savoir : la colonisation, l’esclavage et de les exposer avec style particulier (celui du coeur) et un état d’esprit plus réfléchi qu’un grand nombre à ce jour.
Tous les peuples ont des drames, des violences : la guerre, l’esclavage, la colonisation, etc... mais une grande majorité de ces peuples ont su faire face à leur passé et regardé devant, à l’avenir. De ce fait, ils ont été des bâtisseurs, des porteurs d’idées qui ont favorisés le développement de leur pays
Reconstruire des ruines, c’est tout à fait possible tout en ne négligeant pas l’histoire de chacun.
Comme vous le dites si bien, ce que certains dénoncent vis à vis du passé, ils le reproduisent malheureusement sous une autre forme actuellement. L’esclavage entre Africain perdure à ce jour par exemple, sans que cela choque davantage l’opinion publique Africaine !!
L’homme se bat, se déchire pour un pouvoir, pour une terre, pour valoriser un groupe ethnique par rapport à une autre.
^ 4 février 2019, par Elysé GODO
Merci pour la particulière attention avec laquelle vous avez lu mes écrits. Vous avez compris ma plume.
3 février 2019, par Elysé GODO
Le problème est résolu. Merci beaucoup.
3 février 2019, par Elysé GODO
Ça ne s’affiche pas dans tous ces trois formats. Aucun d’ailleurs.